Critique DVD: Vive les Vacances

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Titre québécois Bonjour les vacances
Titre original Vacation
Réalisation John Francis Daley
Jonathan Goldstein
Scénario John Francis Daley
Jonathan Goldstein
Acteurs principaux
Sociétés de production Warner Bros.
Pays d’origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre comédie
Durée 99 minutes
Sortie 19 août 2015

LE FILM:

3

 

 

Suivant l’exemple de son père, dans l’espoir de renouer des liens familiaux longtemps distendus, Rusty Griswold père fait une surprise à sa femme Debbie et à leurs deux fils, en leur proposant de repartir à Walley World, réputé comme « le parc d’attraction préféré des familles américaines ». Mais pour y parvenir, ils devront traverser le pays tout entier.

En 1983, John Hugues à l’écriture et Harold Ramis à la réalisation lançaient une franchise qui allait connaître un grand succès outre-Atlantique, la série des « Vacation » dont le premier fut plus connu chez nous sous le titre de « Bonjour les Vacances ». Le couple de héros était jadis interprété par Chevy Chase et Beverly d’Angelo. Plutôt qu’un remake ou d’une simple suite, le réalisateur de « Vive les vacances » nous proposent de suivre le départ en vacances de la famille du fils Griswold (du fils de Chevy Chase donc!).  Si le film ne révolutionnera pas l’Histoire du Cinéma, il comblera les adeptes d’humour absurde et régressif tendance scato! Parfaitement rythmé, le film enchaîne les gags à toute allure réservant quelques scènes à pleurer de rire dont une avec un Chris Hemsworth sévèrement burné! Quant à l’interprétation, on ne peut que s’incliner devant le potentiel comique d’Ed Helms qu’on avant découvert avec « Very bad trip »! Un peu gras mais ça détend!

TECHNIQUE:

3.5

 

 

Correct pour le support!

BONUS:

2.5

 

 

Quelques scènes coupées et c’est tout…

VERDICT:

3

 

 

Une comédie « familiale » qui décape!

Disponible en DVD (12.99 euros) chez Warner Bros dès le 6 janvier

 


CRITIQUE: UN TICKET POUR DEUX

Un_ticket_pour_deux_grande

Le seul désir de Neal Page, c’est de rentrer à temps chez lui pour fêter Thanksgiving. Mais son avion étant annulé pour cause de mauvais temps, il doit se rabattre sur d’autres moyens de transport. Ce qui ne serait pas un problème en soi, s’il ne devait également s’accommoder de la compagnie de Del Griffith, un vendeur ambulant bavard qui ne veut plus le lâcher…

Après quatre films centrés sur l’adolescence, « 16 Bougies pour Sam« , « Breakfast Club« , « Une Créature de rêve » et « la Folle Journée de Ferris Bueller », John Hughes change de registre et se lance dans le road movie. Sur un canevas des plus classiques, la cohabitation forcée entre deux êtres que tout oppose à l’issue de laquelle le rapprochement aura lieu, Hughes réussit une comédie hilarante d’un bout à l’autre. Les deux ingrédients principaux sont réunis, un rythme qui ne faiblit jamais et un duo d’acteurs très complémentaires: la star de l’époque Steve Martin et l’éternel second rôle débonnaire John Candy. Sans doute le meilleur film de la courte carrière de Hughes!

NOTE: 7.5/10