Super Jaimie de retour à la TV!!!

Ceux qui ont connu la défunte chaîne « la 5 » dans les années 80 seront ravis d’apprendre que @Paramount_TVFR rediffuse dorénavant du lundi au vendredi à 16h30 les épisodes de la série Super Jaimie. Pour ceux qui auraient moins de 30 ans, cette série apparue à la fin des années 70 est en fait un Spin-off d’une autre série, « L’homme qui valait trois milliards » qui voyait Steve Austin devenir le premier homme bionique. « Super Jaimie » fait de son épouse, Jaimie Sommers, la première femme bionique. En effet, à la suite d’un accident de parachute, elle se voit greffer un bras, deux jambes et une oreille « bio-ioniques » , passant ainsi d’institutrice à agent secret. On peut voir de temps en temps, au fil des épisodes, des apparitions de Steve Austin.

On ne boudera pas notre plaisir de redécouvrir les aventures de cette femme, super-héros avant l’heure avec un petit côté désuet des plus charmants!

(Article sponsorisé)

Critique: Tel Aviv On Fire

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Réalisation Sameh Zoabi
Scénario Dan Kleinman, Sameh Zoabi
Acteurs principaux
Pays d’origine Drapeau du Luxembourg LuxembourgDrapeau de la France FranceDrapeau d’Israël IsraëlDrapeau de la Belgique Belgique
Genre drame
Durée 97 minutes
Sortie 3 avril 2019

Salam, 30 ans, vit à Jérusalem. Il est Palestinien et stagiaire sur le tournage de la série arabe à succès Tel Aviv on Fire ! Tous les matins, il traverse le même check-point pour aller travailler à Ramallah.  Un jour, Salam se fait arrêter par un officier israélien Assi, fan de la série, et pour s’en sortir, il prétend en être le scénariste. Pris à son propre piège, Salam va se voir imposer par Assi un nouveau scénario. Evidemment, rien ne se passera comme prévu.

Le troisième film de Sameh Zoabi, cinéaste israélien, s’intéresse à un jeune scénariste de TV Palestinien débutant, Salam,  qui se retrouve obligé par un officier israélien à suivre ses conseils pour l’écriture de la série préférée de sa femme. Très drôle la première moitié, le film s’enlise un peu dans son procédé. Toutefois, la qualité de l’écriture est à souligner tout comme le personnage impayable de l’officier israélien. Le cinéaste choisit de pointer l’absurdité des tensions israélo-palestiniennes sans désigner de coupables; comme il le dit lui-même, les gags font autant rire les deux publics auxquels il a pu montrer son film.

3.5