Critique: Pirates des Caraïbes, la Vengeance de Salazar

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Titre original Pirates of the Caribbean: Dead Men Tell No Tales
Réalisation Joachim Rønning
Espen Sandberg
Scénario Jeff Nathanson
Acteurs principaux
Sociétés de production Walt Disney Pictures
Jerry Bruckheimer Films
Pays d’origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Aventure
Durée 129 minutes
Sortie 24 mai 2017

Les temps sont durs pour le Capitaine Jack, et le destin semble même vouloir s’acharner lorsqu’un redoutable équipage fantôme mené par son vieil ennemi, le terrifiant Capitaine Salazar, s’échappe du Triangle du Diable pour anéantir tous les flibustiers écumant les flots… Sparrow compris ! Le seul espoir de survie du Capitaine Jack est de retrouver le légendaire Trident de Poséidon, qui donne à celui qui le détient tout pouvoir sur les mers et les océans. Mais pour cela, il doit forger une alliance précaire avec Carina Smyth, une astronome aussi belle que brillante, et Henry, un jeune marin de la Royal Navy au caractère bien trempé. À la barre du Dying Gull, un minable petit rafiot, Sparrow va tout entreprendre pour contrer ses revers de fortune, mais aussi sauver sa vie face au plus implacable ennemi qu’il ait jamais eu à affronter…

Après trois volets réalisés par Gore Verbinski et un quatrième par Rob Marshall, la saga « Pirates des Caraïbes » accouche d’un cinquième volet réalisé par Joachim Ronning et Espen Sandberg! Autant dire que l’on attendait pas grand chose d’un nouvel épisode des aventures de Jack Sparrow qui commençaient à sentir un peu le réchauffé. Et bien, les fans seront ravis, les autres ne seront pas franchement surpris tant la recette est inchangée avec pour ingrédients principaux de l’humour, de l’action et beaucoup de fantastique! On reconnaîtra à cette suite, à défaut d’originalité, d’être rythmée et de respecter le cahier des charges et on appréciera la prestation de Javier Bardem en fantôme de soldat espagnol bien badass! Va quand même falloir penser à clore cette saga bientôt…

3

CRITIQUE: LONE RANGER

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Tonto, le guerrier indien, raconte comment John Reid, un ancien défenseur de la loi, est devenu un justicier légendaire. Ces deux héros à part vont devoir apprendre à faire équipe pour affronter le pire de la cupidité et de la corruption. Le tandem fait des étincelles et entraîne le public dans un tourbillon de surprises et d’humour.

S’inspirant d’une série TV populaire aux Etats-Unis dans les années 50, Lone Ranger est la nouvelle trouvaille des Studios Disney pour rééditer le jackpot de Pirates des Caraïbes. Le flop est malheureusement au rendez-vous faisant un vrai fiasco au box-office US ! Pourtant, les ingrédients ressemblent étrangement à la franchise Pirates des Caraïbes: Même réalisateur, Gore Berbinski, même acteur, Johnny Depp, même compositeur, Hans Zimmer, de l’action, de l’humour, des sales trognes, un soupçon de fantastique, etc…

Et bien l’on peut dire que les Américains ont mauvais goût parce que ce Lone Ranger est de loin le blockbuster le plus emballant de l’été et en tout cas celui qui tient le plus ses promesses. Ces deux heures et demi passent à la vitesse de l’éclair tant l’amour du western de Verbinski transpire de chaque plan: il y a du Ford et pas mal de Leone, jusque dans la BO de Zimmer aux accents morriconiens! Si Depp nous ressert une composition qu’il connaît pas coeur, la grosse surprise vient de son compère Armie Hammer qui lui vole carrément la vedette en faisant preuve d’un charisme assez surprenant. Lone Ranger est amusant et carrément jubilatoire lors de certaines scènes dantesques. Bravo!

NOTE: 8/10