
Réalisation | Nicolas Bedos |
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Scénario | Jean-François Halin |
Musique | Anne-Sophie Versnaeyen Nicolas Bedos |
Acteurs principaux | Jean Dujardin Pierre Niney |
Sociétés de production | Mandarin Cinéma Gaumont M6 Films |
Pays d’origine | France |
Genre | Comédie d’espionnage |
Durée | 116 minutes |
Sortie | 4 août 2021 |
1981. Hubert Bonisseur de La Bath, alias OSS 117, est de retour. Pour cette nouvelle mission, plus délicate, plus périlleuse et plus torride que jamais, il est contraint de faire équipe avec un jeune collègue, le prometteur OSS 1001.
Après « Monsieur et Madame Adelman » et « la Belle Epoque », Nicolas Bedos réalise son troisième film en prenant la suite de Michell Hazanavicius aux commandes d’Oss 117. Après le Caire et Rio, Hubert Bonisseur de la Bath reprend du service en Afrique Noire pour tenter d’empêcher la destitution d’un dictateur « copain’ de la France. L’action est désormais située dans les années 80, à la transition entre les années Giscard et les années Miterrand. OSS 117 est un symbole, référence du passé et doit maintenant se coltiner la relève incarnée par Pierre Niney. Nicolas Bedos se fait plaisir avec des dialogues finement ciselés et rend plus que jamais hommage aux films de James Bond, que ce soit à travers un générique digne des meilleurs 007 ou un méchant avec une pince métallique, cousin lointain de « Requin ». Le produit est bien léché, la photo est magnifique et le duo Dujardin/Niney offre quelques bons moments de rigolade.
La comédie de l’été!
